Collins calls for halt to
changes to autism intervention services
June 11, 2014
FREDERICTON – Liberal education
critic Chris Collins is calling for an immediate halt to the Alward
government’s changes to the autism intervention services in New Brunswick.
Changes made by the Department
of Education and Early Childhood Development to the standards for agencies
delivering intervention services for preschool children with autism spectrum
disorder were announced without consultation on May 26, less than one week
before an initial implementation date of June 1. This date has since been revised by
Government to July 1, again with no adequate consultation with those affected.
One of the main concerns voiced
by parents and advocates is the introduction of a new mandatory 95 per-cent
attendance rate for autistic children receiving intervention services from
autism support agencies. Should a child
miss more than 3 days over a 3-month period, the agency loses funding.
Collins, the MLA for Moncton
East, said this is unacceptable and added that he has already received calls
from families expressing their concerns about this new policy.
“Autism support agencies
already experience high staff turnover rates.
This new policy’s impact on agency funding will certainly make staff
retention more difficult,” said Collins.
“While this impacts the autism support agencies, it also certainly
impacts the children.
“Routine, consistency, and
familiarity are all extremely important for a child with autism,” added
Collins. “These changes are causing an
undue amount of uncertainty and stress for both these children and their parents.”
Collins said that the policy is
too vague, and does not offer specifics to indicate if there will be any
exceptions permitted for missed attendance.
For example, Collins wonders if a child is sick, or if they spend a day
with their grandparents, would that count as a missed day?
“At the end of the day, parents
must be involved in the decisions that will impact their child,” said
Collins. “This is yet another example of
this Alward government making hasty decisions without thinking about the impact
they will have on New Brunswickers.”
-30-
M.
Collins demande l’arrêt des changements aux services d’interventions auprès des
enfants autistiques
Le
11 juin 2014
FREDERICTON
– Chris Collins, le porte-parole en matière de l’éducation pour le Parti
libéral, demande l’arrêt immédiat des changements du gouvernement Alward aux
services d’interventions auprès des enfants autistiques au
Nouveau-Brunswick.
Les
changements effectués par le ministère de l’Éducation et du Développement de la
petite enfance aux standards pour les organismes qui offrent des services
d’intervention pour les enfants d’âge préscolaire atteints de troubles
autistiques ont été annoncés sans consultations le 26 mai, à moins d’une
semaine de la mise en œuvre proposée du 1 juin.
Cette date a depuis été révisée par le gouvernement au 1 juillet, encore
une fois sans consultation adéquate avec ceux et celles qui seront
touchés.
Une
des principales préoccupations exprimées par les parents et les défenseurs est
l’introduction d’un nouveau taux de participation obligatoire de 95 pour cent
pour les enfants autistiques recevant des services d’intervention d’organismes
de soutien à l’autisme. Si un enfant
manque plus de trois jours sur une période de trois mois, l’organisme perd du
financement.
M.
Collins, le député de Moncton-Est, dit que cela est inacceptable, et a ajouté
qu’il a déjà reçu des appels de familles exprimant leurs inquiétudes face Ã
cette nouvelle politique.
«
Les organismes de soutien à l’autisme connaissent déjà de fréquents changements
au personnel. L’impact de cette nouvelle
politique sur le financement de ces organismes rendra encore plus difficile la
rétention du personnel, » a dit M. Collins.
« Bien que cette nouvelle politique aura un impact sur les organismes de
soutien à l’autisme, elle aura certainement un impact sur les enfants.
“Un
enfant autistique nécessite une routine, de la cohérence, et de la familiarité,
» a ajouté M. Collins. « Ces changements
causeront un stress et une incertitude excessive pour ces enfants et leurs
parents. »
M.
Collins a dit que la politique est trop vague, et n’offre pas de détails pour
indiquer s’il y aura des exceptions pour les journées manquées. Par exemple, M. Collins veut savoir si une
journée manquée s’appliquera à un enfant malade, ou à un enfant qui a passé la
journée avec ses grands-parents.
« À
la fin de la journée, les parents doivent être impliqués dans les décisions qui
auront un impact sur leurs enfants, » a dit M. Collins. « Voilà un autre exemple d’une décision
rapide prise par ce gouvernement Alward, sans aucune considération pour
l’impact qu’elle aura sur les Néo-Brunswickois. »
-30-
Personne ressource : Jennifer Gillespie, Bureau
de l’opposition officielle, 506-453-2548, jennifer.gillespie@gnb.ca